
Jack White – No Name : un album sans nom qui vise juste
Le mot surprise ne va pas forcément à No Name, dernier album de Jack White. Mais ce dernier prouve sans effort que fidélité aux Rock des origines ne rime pas toujours avec naphtaline.
Le mot surprise ne va pas forcément à No Name, dernier album de Jack White. Mais ce dernier prouve sans effort que fidélité aux Rock des origines ne rime pas toujours avec naphtaline.
Avec Le loup de Wall Street, un film lorgnant autant vers les classiques mafieux des années 1990 que vers les réussites comiques du cinéaste, la collaboration entre Scorsese et DiCaprio atteint son Everest créatif.
Alors que le Boss a dû reporter son concert à Marseille, il y avait quand même un peu de New Jersey Rock en France en ce début d’été, avec le passage de Southside Johnny and the Asbury Jukes à La Cigale.
Avec ses audaces, son souffle de mise en scène et sa dimension prométhéenne synchrone de son sujet, Napoléon vu par Abel Gance est le panache fait film. Une œuvre qu’il est désormais possible de redécouvrir restaurée dans son montage de référence.
Rien ne ressemble plus à un film de Scorsese qu’un documentaire où ce dernier évoque face caméra un duo mythique du cinéma anglais. Made in England : les films de Powell et Pressburger parle autant de son sujet que de la carrière et de l’œuvre de Scorsese…
Il y a quarante ans jour pour jour, Prince sortait (avec The Revolution) Purple Rain. Et prouvait que les albums les plus audacieux et les plus fous pouvaient être aussi des succès de masse.
Avec son second concert parisien de 2024, Eric Clapton a séduit sans trop tirer sur la corde nostalgique, quitte à frustrer certains fans.
Revenir à la saga mafieuse peu de temps après un film aussi marquant que Les Affranchis exposait automatiquement à un accueil public et critique un peu moins enthousiaste. Certains critiques et fans de Scorsese mirent ainsi une trop grande similitude apparente avec le film de 1990 au passif de Casino.
Avec Mimi, Corridor creuse son sillon entre pop est post-punk. Et leur sens musical de l’espace compense une attitude au second degré un peu trop appuyé.
Arrivant après une paire d’albums enragés, There Goes The Neighbourhood montre un Kid Kapichi trop inégal et dispersé pour convaincre totalement.