Rétrospective Martin Scorsese : 9. La valse des pantins (1982)
Encore un échec public, encore un succès artistique pour Scorsese avec La valse des pantins, satire acerbe de la soif de célébrité télévisuelle de la décennie 80 qui inspirera Joker.
Encore un échec public, encore un succès artistique pour Scorsese avec La valse des pantins, satire acerbe de la soif de célébrité télévisuelle de la décennie 80 qui inspirera Joker.
Tout le monde a oublié que Raging Bull n’a pas déplacé les foules en son temps. Mais n’est-il pas normal que la marque indélébile laissée par Scorsese sur le genre du biopic et la mise en scène du sport au cinéma ait effacé des mémoires cet échec public ?
Leur réputation scénique les précédait. Fat Dog sont venus au CentQuatre et ils ont vaincu. Au point qu’on laissera en suspens la question de savoir ce qu’un groupe en fusion dans tous les sens du terme peut donner sur disque.
Avec leur premier album, Goodbye Black Dog, Purrs, le quatuor d’Angoulême, apportent leur propre pierre à l’édifice du post-punk hexagonal.
Triomphe cannois, Taxi Driver marque la rencontre entre Martin Scorsese et Paul Schrader et consolide le statut de figure de premier plan du cinéma américain des années 1970 du New-Yorkais.
Il y a quarante ans, un des plus grands groupes du rock anglais sortait son premier album. Avec le torse nu de l’acteur Joe Dallesandro sur la pochette, les Smiths offraient avec un album éponyme le premier et imparfait chapitre d’une belle et brève aventure musicale.
A l’instar des groupes qui ont changé de dimension artistique au troisième album, la troisième tentative sera la bonne pour Scorsese avec Mean Streets, qui pose les bases des futurs chefs d’œuvre mafieux du cinéaste.
Beaucoup a déjà été écrit concernant le duo entre les Pogues et Kirsty MacColl et sur le récemment décédé Shane McGowan. Avec The Pogues – Fairytale of New York, Yann Liotard réussit quand même à en partie éviter le piège du bouquin qui ferait double emploi.
David Bowie – Ashes to Ashes de Marc Dufaud, c’est tout ce que l’on savait déjà sur le Bowie de l’époque et le morceau, documenté avec précision.
Après un premier film au tournage chaotique, la route de Scorsese passe par la Série B. Un cadre dans lequel le cinéaste peine à trouver ses marques.