Black Fluo – Billion Sands
Voilà bien le genre d’album qui ne touchera qu’une poignée d’auditeurs mais ceux-ci risquent d’être conquis par l’univers de ces étranges Suisses.
Voilà bien le genre d’album qui ne touchera qu’une poignée d’auditeurs mais ceux-ci risquent d’être conquis par l’univers de ces étranges Suisses.
“Si nous vivions en 1913â€, serions-nous plus heureux ? L’historien Antoine Prost ne répond pas à la question, bien sûr, mais son recueil de chroniques apporte un éclairage très concret sur ce qu’était la vie quotidienne de nos ancêtres à la veille de la Grande Guerre, “au fil des travaux et des joursâ€.
Nouvelle étape d’un printemps déjà généreux en beaux rendez-vous folk, ce premier album du jeune anglais Nick Mulvey, entre folk intime et rythmes chaloupés, distille un charme immédiat. Doux et subtil, First Mind devrait vous régaler de sa chaleur et de ses fenêtres larges ouvertes sur le monde.
Le londonien Jonathan Glazer prend son temps pour réaliser ses longs-métrages puisque Under the skin est seulement son troisième, le précédent Birth datant de 2004. […]
La tête à Détroit, les pieds à Nashville, Lafayette revient dans une formule resserrée pour un rock toujours aussi mordant.
Donovan Blanc ? Plutôt un joli cru rosé d’indie pop. Gorgé de vocaux moelleux et de guitares cristallines, l’album de ce duo américain se boit sans soif, on apprécie son bouquet parfumé intemporel et on pense ressortir volontiers leur bouteille fruitée durant cet été.
« Le Livre des Tables » nous invite à découvrir les comptes-rendus rédigés par Hugo et ses proches lors des nombreuses séances spirites qui se tinrent à Jersey, où l’auteur se réfugia suite au coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte.
Nouvelle sélection electro proposée par notre DJ maison Roland Torres. Avec Dave Aju, Owen Pallett, Hundred Waters, Atari Teenage Riot, Douglas Dare, Aucan…
En seulement 5 tomes, 5 stickers collector et 1 unique numéro spin-off de « Sexy Sirène », « LastMan » s impose triomphalement comme une série manga à l univers aussi coloré, dense, et étendu qu addictif. Ses derniers volets confirment avec une aisance qui frise le génie.
Avec Audiorama, grande oeuvre orchestrale intimiste, Mermonte confirme haut la main tout le bien que l’on pensait de lui. Ou plutôt d’eux.