Si Damon Albarn est souvent associé aux iconiques Gorillaz et Blur, sa triple prestation à la Philharmonie de Paris le week-end dernier s’articulait exclusivement autour de « The Nearer the Fountain, More the Stream Flows ».
Une fois n’est pas coutume, coup de projecteur en trois axes sur le film Derrière la porte verte, une audacieuse pénétration au début de l’âge d’or du cinéma pornographique américain. Un véritable film de culte !
Le fondateur des Last Poets, entre passé et futur, introspection et perspective. Gratitude est un hommage aux figures des droits civiques et aux lieux qui ont forgé l’histoire afro-américaine. C’est aussi une passation de relais avec de jeunes artistes activistes.
Après Reward sorti en 2019, la chanteuse et musicienne Galloise Cate Le Bon revient en forme avec l’album Pompeii qui creuse ses obsessions, tout en présentant sa face la plus accessible.
Stéphane Brizé continue son entreprise d’observation de la dureté du monde du travail, à travers Un autre monde, un nouveau brillant pamphlet social et humaniste, examiné sous un prisme différent.
Mauvaise pioche pour Netflix dans la poursuite de stratégie d’attirer des auteurs sur la plateforme : Jeunet leur a vendu avec BigBug ce qui est sans doute son plus mauvais film !
Cold As Weiss est un disque soul-jazz entre modernité assumée et tradition respectée. Un album entièrement instrumental et une réussite totale.
Charmed Life, le best-of du projet de Neil Hannon est l’occasion de se (re)plonger dans la musique de The Divine Comedy avec une discographie so british, exemplaire et intemporelle.
Le septuor qui avait fortement marqué les esprits il y a un an avec un premier album remarquable, revient en force avec Ants From Up There, leur nouvel opus très attendu, qui s’apparente d’ores et déjà à un réel chef d’œuvre.
A travers les planches majestueuses d’une forêt d’automne canadienne, un père et son fils vont se retrouver pour partager les secrets les plus douloureux du passé. Mélancolie et évasion assurées.