Coup de projecteur en trois axes sur Les Enfants du paradis de Marcel Carné avec Arletty notamment, pour redécouvrir les mots de Jacques Prévert et partager en famille un monument du cinéma français.
Derrière les convenances d’un genre qui se prête à bien des excès, The Hunt se révèle comme un portrait cruel d’une Amérique déchirée.
Pour son quatrième album solo, Cenizas, ( “cendres” en espagnol), Nicolás Jaar nous offre une nouvelle plongée dans un univers musical toujours aussi riche et mystérieux.
La Plateforme, petit film de SF « intelligente » diffusé sur Netflix, s’avère un conte politique dont la pertinence est assez désolante.
C’est un premier examen solo réussi pour Malcolm Strachan qui, après des années à tâter de tous les styles de groove, nous invite avec About Time dans son univers très personnel influencé par le label Blue Note.
Coup de projecteur en trois axes sur The Party le classique de Blake Edwards avec Peter Sellers, et Claudine Longet, pour partager en famille un moment de comédie très inventive.
Le Dr Rubberfunk est comme son nom l’indique spécialisé dans les grooves dansants et connait parfaitement son affaire quand il s’agit d’ambiancer un public. Il le prouve encore avec le très remuant My life at 45.
À l’heure du confinement, BENZINE propose de mettre un coup de projecteur en trois axes sur Le mécano de la “General” de Buster Keaton et Clyde Bruckman, l’un des plus grands films de l’histoire du cinéma.
Emil Wilk et son projet M.I.L.K nous invite avec Always Summer Somewhere à célébrer l’intemporalité de l’été sur un premier album gorgé de Poptimisme. Une friandise acidulée truffée de pépites colorées et sautillantes.
Octave noire récapitule tous les genres qui l’ont bercé pour un nouvel album intense et surprenant. Une atmosphere riche en ombres et lumieres, un disque sans adresse fixe.