Pleins phares sur « The Lighthouse » de Robert Eggers
Après The Witch, Robert Eggers signe The Lighthouse et plonge le spectateur au cœur d’une fable gothique, à l’intérieur d’un oppressant phare des ténèbres, où tous les sens sont mis à l’épreuve.
Après The Witch, Robert Eggers signe The Lighthouse et plonge le spectateur au cœur d’une fable gothique, à l’intérieur d’un oppressant phare des ténèbres, où tous les sens sont mis à l’épreuve.
Grand espoir espoirs de la scène techno/house internationale, le DJ et producteur basé à Glasgow, Hector Barbour, sort un premier album très dense sur Ninja Tune.
15 albums retenus pour ce top 2010-2019, mais 20 ou 30 aurait été aussi très bien. Un top illuminé par la Black Star de David Bowie qui aura brillé sur cette décennie de tout son éclat.
Les critiques séries font leur bilan pour la décennie écoulée qui fut encore fantastique en termes d’émotions et de chocs visuels. Tchernobyl, bien sûr, mais aussi The Handmaid’s Tale, Better Call Saul, Le Bureau des Légendes, Boardwalk Empire…
Alors que ses derniers films semblaient progressivement s’évaporer dans leur écriture, la nouvelle oeuvre de Terrence Malick, Une vie cachée, opère un retour aux sources, à la fois de l’écriture et de l’Histoire elle-même…
Auréolé par le Prix Un certain regard au Festival de Cannes 2019, La vie invisible d’Euridice Gusmão prouve la résistance du cinéma brésilien, après le rageur Bacurau de Kleber Mendonça Filho.
N’est pas Ellroy qui veut, et Brooklyn Affairs, malgré une interprétation réjouissante de son réalisateur, Edward Norton, s’avère trop formaté pour vraiment perpétuer la grande tradition du genre…
Avec Marriage Story, Noah Baumbach dirige un duo d’acteurs épatant dans une œuvre juste, subtilement écrite et dialoguée. Un film sur le divorce juste, drôle et émouvant à la fois. A voir dans son canapé !
La rédaction a rassemblé ses souvenirs de cinéma et à voté pour désigner sans classement les quinze meilleurs films de la décennie écoulée.
Elia Suleiman propose avec It Must Be Heaven une déclaration d’intention explicite sur l’ambition d’un cinéma averbal, universel. Une sorte de conte philosophique qui peut susciter autant l’admiration que l’indifférence.