Après 20 ans de carrière, 7 albums, et des centaines (milliers ?) de concerts, Arnaud Fradin et Malted Milk ont définitivement trouvé leur mojo avec le petit dernier, Love, Tears and Guns.
Après Okja, Bong Joon-ho avait fait état de sa fatigue quant aux grosses productions américaines, et appelé de ses vœux un retour au pays natal pour un film plus modeste. En découle Parasite, un de ses meilleurs films, qui donne au concept de modestie une coloration bien réjouissante.
Avec ses 79 années au compteur, dont presque autant à chanter, Mavis Staples revient avec We Get By, un 12e album aussi militant qu’attachant, produit par Ben Harper.
Avec Fugues, Arthur H propose au lecteur trois expériences de vies, à des époques différentes. Des vies faites de grâce, de détermination et de rêves d’ailleurs pour une existence accomplie et espérons-le apaisée.
Alors que nous sommes à l’aube d’une multiplication de biopics musicaux, suite au succès assez incompréhensible du médiocre Bohemian Rhapsodie, Rocketman se présente comme une tentative originale, mais guère plus convaincante…
Ce troisième volet de la saga confirme la suprématie de John Wick dans le cinéma d’action de cette décennie avec des scènes de combats toujours aussi bluffantes.
Il y a un petit nouveau sur la scène Soul Californienne et il n’est pas là pour plaisanter. Avis aux concurrents, soyez forts, Kelly Finnigan est dans la place et compte bien y rester.
Le compositeur grec Stavros Gasparato explore la fine ligne qui sépare le calme et la rage, invitant le public à une expérience positivement libératrice dans son album Rage Park.
Bien que cousu de fil blanc et loin d’être inoubliable, Séduis-moi si tu peux ! s’avère plutôt réussi sur le versant romantique, avec quelques jolis moments d’humour en prime.
Après la comédie Victoria auréolée d’un beau succès pour Justine Triet et sa comédienne Virigine Efira, le duo rempile sur un axe très net : ne pas reproduire la même formule.