
La new-yorkaise JACK noie ses angoisses dans l’Indie rock
Issue du prolifique label indie rock américain underground Sad Cactus, la new-yorkaise JACK s’impose avec des compositions à la fois mélancoliques et nerveuses.
Issue du prolifique label indie rock américain underground Sad Cactus, la new-yorkaise JACK s’impose avec des compositions à la fois mélancoliques et nerveuses.
Troisième album pour le trio Cavern Of Anti-Matter avec une production à la croisée des genres parmi lesquelles on retrouve le kraurock de Can ou Neu!.
Nouvelle bouffée d’oxygène dans le cinéma de genre francophone, à travers cette étrange histoire de survie, quand la brume dévore le monde. Astucieux et séduisant.
« L’oiseleur », un disque comme la virée étrange et poétique dans un XIXème siècle électrique, réinventé à la force de la plume et du poignet, du stylo et du médiator.
Cet intrigant thriller familial partiellement convaincant, explore les affres relationnelles entre deux frangines, à travers une confrontation mentale, quand l’une cherche à s’affranchir de l’ombre de sa sœur. Anxiogène et inégal.
Nous avons trouvé les cousins germains d’Alvvays. Ils se nomment Gingerlys, ils viennent de Brooklyn et présentent leur premier album éponyme renversant.
Touchante exploration du peuple amérindien à travers le bouleversant portrait d’un cowboy meurtri passionné de rodéo, The Rider est aussi le symbole d’une mythologie américaine mettant de côté ceux qui chutent.
Authentique chronique d’une reconstruction humaine et sociale d’un jeune homme toxicomane, pour retrouver la tête haute vers la Lumière grâce aux voies du Seigneur.
Le duo ambient Śruti – Omar El Abd (Omrr) et Mohammed Ashraf (Pie Are Squared) – arrive chez les bretons de Eilean Rec. avec un album décomposé en deux diptyques.
Guillaume Meurice est décidément déroutant. Le chroniqueur de France Inter, également humoriste, est connu pour son regard acéré sur notre société. Quand il tend son micro dans la rue, c’est souvent pour enregistrer la bêtise humaine. Dans son premier roman, il prête sa plume à son ami Cosme, pour écrire de jolis mots aussi poétiques qu’un sonnet rimbaldien.