Electric Mud : Et Muddy Waters inventa l’électricité…
Incompris lors de sa sortie en 1968, « Electric Mud » de Muddy Waters est un album au Rock lourd et Bluesy qui influencera bon nombre de groupe par la suite.
Incompris lors de sa sortie en 1968, « Electric Mud » de Muddy Waters est un album au Rock lourd et Bluesy qui influencera bon nombre de groupe par la suite.
Au milieu des 80’s, on voit circuler sur les scènes en marge de Los Angeles une formation de Chicanos patibulaires naviguant férocement entre les styles (Skate Punk, Funk Metal, Punk Hardcore…) : Suicidal Tendencies.
Il y a 25 piges, les Beastie Boys balançaient un mètre-étalon du « peuh-ra » made in East Coast plein d’humour et rempli d’une énergie dévastatrice. Le Rap des blancs-becs de Brooklyn déferle sur les States.
Lomepal livre un disque splendide, solaire et dépressif, entre ombre et lumière, et vient assoir son indispensable et singulière présence dans le Rap Game.
En cette fin des sixties, le mouvement hippie tenait encore le haut de la scène et parfumait de Ganja tout ce qui leur passait entre les mains. Le Canned Heat ne dérogera pas à la règle en trempant le vieux Blues du Delta dans la fiole de LSD.
Pete Shelley vient de nous quitter. Il y a tout juste 40 piges, Pete et ses Buzzcocks débarquaient dans la vague Punk qui a englouti l’Angleterre et ouvraient leur propre voie entre les deux géants du genre (The Clash et Sex Pistols).
Il y a 30 ans cette année, Metallica sortait …and Justice for All et livrait son adieu au Thrash dans un album froid comme l’acier et noir comme le deuil, celui de Cliff Burton.
En 1968, sort The Kinks Are the Village Green Preservation Society. Un album en décalage avec son temps qui sera un échec commercial. Retour sur ce petit bijou pop de anglaise oublié.
En 1977, l’Angleterre est au point mort. Socialement, économiquement et « Rock’n’Rollement », c’est la grande dépression chez nos amis aux dents longues. The Sex Pistols vont venir viennent éclabousser les bonnes manières British.
1993. Une époque où Rudy Giuliani n’avait pas encore lavé les trottoirs de New-York à la javel et « karchérisé » les murs crasseux de la Big Apple ; ces murs immenses de buildings pour riches où un tag dégoulinant semblait narguer la ville : WU-TANG CLAN !