INITIALES S.G : N°4 : Gainsbourg quatrième
Pour les 30 ans de la mort du grand Serge Gainsbourg, ses 16 albums studios chroniqués par lui-même ou presque. Cette semaine le » N°4″ enregistré avec l’orchestre d’Alain Goraguer et sorti le 23 mai 1962.
Pour les 30 ans de la mort du grand Serge Gainsbourg, ses 16 albums studios chroniqués par lui-même ou presque. Cette semaine le » N°4″ enregistré avec l’orchestre d’Alain Goraguer et sorti le 23 mai 1962.
Pour les 30 ans de la mort du grand Serge Gainsbourg. Ses 16 albums studios chroniqués par lui-même ou presque. Cette semaine « L’étonnant Serge Gainsbourg » enregistré avec l’orchestré d’Alain Goraguer et sorti le 5 avril 1961.
Pour les 30 ans de la mort du grand Serge Gainsbourg. Ses 16 albums studios chroniqués par lui-même ou presque. Cette semaine, le « N°2 » enregistré en 1959 en compagnie d’Alain Goraguer et son orchestre.
Pour les 30 ans de la mort du grand Serge Gainsbourg. Ses 16 albums studios chroniqués par lui-même ou presque. On démarre avec Du chant à la une !… sorti en 1958 et enregistré avec Alain Goraguer et ses musiciens.
En 1974, Ettore Scola vient offrir au public une superbe fresque sur l’Italie d’après-guerre à travers le regard de trois hommes, trois amis. Un regard tantôt drôle, tantôt acerbe sur les 30 glorieuses et la fin des illusions.
En 1978, John Carpenter va livrer son troisième essai, qui va devenir un coup de maître (et restera des années comme le film indépendant le plus rentable de l’histoire). Halloween va s’imposer comme un jalon culturel, historique et esthétique fondamental dans l’avenir du film d’horreur.
En 1979, Alain Corneau s’attaque au roman noir de Jim Thompson : Hell of a Woman. Le réalisateur Français livre un morceau de bravoure noir comme l’ébène, un drame anxiogène, naturaliste, qui offre à l’immense Patrick Dewaere le rôle de sa carrière. Indispensable.
Sergio Leone clôt sa trilogie des dollars avec un ballet ultra-chorégraphié où les danseuses portent barbes et flingues au côté, un drame Antique plein de bruit et de fureur où la destinée des archétypes reste immuable. Un chef d’oeuvre indépassable, indémodable…
Avec The Thing, John Carpenter livre l’un des plus grands films d’horreur des 80’s et offre des visions de cauchemars terrifiantes qui resteront gravées à jamais dans la mémoire des cinéphiles du monde entier. Culte !
En 2006, sortait un petit bijou de ce cinéma indépendant Américain que l’on aime tant. Little Miss Sunshine tombait comme un cheveux sur la soupe dans une production Hollywoodienne survitaminée, offrant ce regard si mélancolique sur cette Amérique oubliée.