Corto toujours un peu plus loin est une compilation de 5 aventures, en continuation directe de celles parues sous le titre de Sous le signe du Capricorne. Avec ces histoires, Pratt continue l’édification de ce qui va devenir l’univers et le mythe de Corto Maltese.
Après son étonnant diptyque Mégafauna , Nicolas Puzenat nous revient avec un nouveau récit hors du temps, avec en toile de fond un incendie destructeur : une romance entre une servante et son maître, doublée d’une ode à la liberté.
Zep, ce n’est pas que Titeuf, un personnage peut-être trop populaire qu’il a laissé derrière lui ces dernières années pour passer à « autre chose ». C’est là le sujet de ce beau livre qu’est Dessiner le monde, construit autour d’entretiens avec Romain Brethes.
La Ballade de la Mer Salée était un one shot réussi, jusqu’à ce que Hugo Pratt ne décide de poursuivre l’aventure, nous offrant le premier véritable Corto : la naissance d’un mythe…
On savait difficile, voire impossible, de donner une suite au chef d’œuvre absolu qu’est le premier livre de Moi, ce que j’aime, c’est les monstres, mais, après un démarrage un peu lent, Emil Ferris nous scotche à nouveau. Vivement la suite !
Il nous a fallu encore attendre quatre ans pour voir paraître un nouveau Donjon Parade, mais, aidé du dessin inspiré et inhabituel de Tebo, Le sirop des costauds amorce le grand retour de la série en 2025 !
En mettant en scène les affres d’un bourreau appliqué, mais trop sensible, David Ratte dénonce brillamment l’absurdité de la loi du Talion et de la peine de mort. Une belle osmose entre humanisme, humour noir et second degré.
La Ballade de la mer salée n’est pas une bande dessinée comme une autre : c’est évidemment l’épopée fondatrice d’un mythe de la BD, l’irrésistible aventurier post-romantique Corto Maltese. Mais c’est aussi un pilier de la littérature du XXe siècle, qu’elle soit dessinée ou non…
Magnifique déclaration d’amour à sa ville multiculturelle, l’auteur nous raconte avec verve son parcours dans la bande dessinée, sur un ton oscillant entre humour et angoisse, dans un contexte de montée de l’intolérance religieuse. On n’a pas fini d’entendre parler d’Ersin Karabulut !
En demi-teinte, le palmarès 2025 ne ralliera certainement pas tous les suffrages, mais cela fait déjà un moment que le Festival d’Angoulême nous a habitué à des choix discutables.
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