« La passion selon Béatrice » : Pasolini qui rit, Dalle qui pleure
Fabrice Du Welz filme la rencontre de deux monstres du cinéma, l’un qui bouffe l’écran (c’est Dalle) et l’autre dont la présence le hante (c’est Pasolini). Mais l’œuvre va très vite montrer ses limites en ne faisant que survoler son sujet et en se révélant plus que frustrante.