D’accord, il n’y a pas eu en 2023 une série phénomène – comme ce fut le cas l’année dernière avec Severance – qui fasse une totale unanimité. Mais ce qu’on retiendra peut-être surtout de 2023, ce sont les succès de plusieurs séries françaises (Polar Park, Sambre, Tapie, D’argent et de sang…) qui ont conquis un public pourtant difficile…
Le réalisateur et documentariste Jean-Baptiste Péretié tente de dresser le portrait d’un homme pudique et discret qui a incarné à l’écran des forts en gueule, des truands ultra-violents.
La légende Shane MacGowan vient de nous quitter à l’âge de 65 ans. On redécouvre la vie de cette icone du rock irlandais grâce au film Crock of Gold: A Few Rounds with Shane MacGowan, disponible sur arte jusqu’en février 2024.
Avec Capitalisme américain, le culte de la richesse, Cédric Tourbe nous propose un documentaire éclairant et passionnant sur l’évolution du modèle économique américain, nourri de nombreuses images d’archives.
Remi Lainé et Pascale Robert-Diard proposent une mini-série documentaire qui raconte l’incroyable « affaire Agnès Le Roux / Maurice Agnelet ». L’histoire d’une riche héritière disparue en 1977 qui, après 37 ans de procédures et la mort du principal accusé, semble nous rapprocher un peu plus près de la vérité.
Polar Park, polar fantaisiste diffusé sur Arte en 6 épisodes, est une redoutable salade niçoise d’influences et de citations directes d’œuvres cultes, soit la recette d’un désastre certain. Et pourtant, la série nous enchante… Pourquoi ?
Artiste de génie, leader du groupe The Beach Boys, Brian Wilson fait partie des personnages les plus énigmatiques de l’histoire du rock. Christophe Conte retrace le parcours de ce musicien tourmenté pour la série documentaire « Summer of Brothers & Sisters » sur Arte.
La fille la plus drôle et la plus sexy du cinéma français des années 70 a fait l’objet en 2019 d’un beau portrait signé Clélia Cohen. À l’occasion de la mort de Jane Birkin, Arte rediffuse ce touchant 52 minutes.
Le réalisateur Sébastien Lifschitz propose un documentaire éclairant dans lequel il retrace l’histoire de la Casa Susanna, un lieu de rencontre dans les années 50/60, situé à deux heures de New York, où des hommes se retrouvaient librement pour se travestir en femme.
En dépit de quelques maladresses, Esterno Notte réussit à ressusciter l’atmosphère des Années de Plomb italiennes et n’a rien à envier aux réussites cinématographiques de Bellocchio. (Avis avec SPOILERS)