Terminé sur le tard, le petit frère de No Direction Home est, en apparence, un documentaire dont les composantes les plus étranges sont parfois réelles et dont les archives appuient le plus souvent ce qu’elles ne montrent pas.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». On commence avec l’album de Dylan qui a tout changé, le monstrueux Highway 61 Revisited !
L’un des meilleurs documentaires réalisés par Scorsese, No Direction Home: Bob Dylan, n’est pas vraiment un projet personnel du réalisateur. Pourtant, c’est sans aucun doute sa science de la narration et de la mise en scène – et son amour de la musique – qui lui ont permis d’en faire une œuvre aussi marquante.
Perplexe devant votre collection de 123 d’albums de Dylan, en vous demandant ce qui vous manque encore ? Ou simplement curieux devant la trajectoire à nulle autre pareille du seul musicien Prix Nobel de Littérature ? Dylanographie est pour vous !
BENZINE consacre pour cette année 2020 les jeunes comme les anciens : Bob Dylan, Flaming Lips, Stephen Malkmus, IDLES, Mocke, A Girl Called Eddy, Matt Elliott, Fontaines D.C, Cabane et Sparks.
Petit bilan « musique » pour la première moitie de l’année 2020 avec douze albums « coup de coeur » choisis parmi tous les disques chroniqués dans nos pages.
Il était difficile de prévoir une telle résurrection du talent, non du génie de l’un des plus artistes de notre époque, mais Rough and Rowdy Ways est une merveille absolue, et rejoint les meilleurs albums des années 60 et 70 au pinacle de l’œuvre de Bob Dylan.
Dans la sélection de la semaine : Bob Dylan, LANE, Neil Young, twain, Wire, Rose City Band,The Koreatown Oddity, Holy Hive, Emily Loizeau, Domotic, Fugu, Don Bryant, Roy Ayers, Teyana Taylor, Arielle Dombasle + Nicolas Ker…
En 1966, Dylan vient achever sa mutation. Le petit Folkeux hype de Greenwich Village délaisse sa Folk acoustique, il branche la saturation et endosse le costume plus râpeux du Rockeur…
En 2015, le français exilé au Canada, Jérôme Minière, est de retour avec d’abord Une île, un nouvel album avec des chansons aux tonalités douces et légères mais également avec un premier roman : L’Enfance De L’Art.