Pour ceux qui ne connaissent pas encore Barton Hartshorn, son nouvel album, Not What I Expected to Hope For, est une chose rare : une très belle célébration du meilleur de la pop et du folk anglais « classiques ». Avec, en bonus, une voix superbe et un storytelling passionnant.
Le folk de l’irlandaise Brigid Mae Power n’avait pas totalement retenu notre attention jusqu’ici. Avec Head Above The Water, elle change la donne avec des compositions au classicisme assumé mais à la sensibilité assurée.
L’irlandais Joe Chester reste trop méconnu en dehors de son pays natal. Jupiter’s Wife, son nouvel album changera peut-être la donne avec une Pop qui fait le grand écart entre un folk celtique et la grâce d’un Paul Buchanan.
Avec Old Vow, une collection de chansons anciennes remises au goût du jour, le britannique Sam Lee impose d’une signature intemporelle des mélodies d’un autre âge.
Tout est parti d’une invitation à une résidence artistique pour l’écossais Andrew Wasylyk pour The Paralian ,son troisième album entre dérives maritimes et réminiscences Soul.
Splendeur complète, ce quatrième album de Bill Fay est le cadeau de ce printemps. Un disque aux airs de classique instantané où le discret songwriter anglais revenu de l’oubli déploie tout son art. Grandeur spirituelle et humanité apaisée s’y côtoient en tutoyant les anges. Un des disques de l’année.
Le valeureux groupe anglais The Lilac Time vient de publier un beau nouvel album qui, malgré l’indifférence que la formation suscite, est un des plaisirs de ce printemps.