« Madeleine Collins » : Vertigo de l’amour
Le nouveau film d’Antoine Barraud, après le singulier Le dos rouge, est assez troublant au début. Puis ce trouble s’étiole progressivement pour ne laisser, dans son dernier tiers, qu’une sorte de laborieuse explication de texte ne s’embarrassant guère de subtilités. Frustrant.