Avec « Disparitions », Personne n’est pas venu pour rien.
Avec une efficacité mélodique évidente, un son à la fois référencé et très maîtrisé, le Canadien offre un second album solo où la guitare tutoie la voix de quelque mâne évanescent.
Avec une efficacité mélodique évidente, un son à la fois référencé et très maîtrisé, le Canadien offre un second album solo où la guitare tutoie la voix de quelque mâne évanescent.
Suivre la carrière solo, en dehors d’Arcade Fire, de Will Butler, ne semblait pas une priorité… jusqu’à ce Generations qui se révèle être un album magnifique, profond, attachant et… excitant.
Oui, en 2020, il y a encore des pionniers dans le Rock, et Pain Olympics, le premier album de Crack Cloud risque bien de mettre tout le monde d’accord, en secouant violemment le cocotier du Rock, un genre musical qui se complaît beaucoup trop dans le recyclage des grandes idées d’hier. Place à la révolution !
Si l’on n’attend plus forcément grand chose des thrillers de SF régulièrement mis en ligne par Netflix, on peut regarder Code 8 de Jeff Chan avec d’autres yeux, et le trouver plutôt intéressant.
A Montréal aussi, on sait faire de la musique bruyante, excitante, et en même temps accrocheuse. Et en plus, là-bas, on n’a pas les mêmes complexes que nous, on chante en… Français ! Alors, amenez vos copains et copines et ne loupez pas votre sortie à quatre avec la Mort !
Pour qui aime (encore) le cinéma de Dolan, on a très envie de se montrer tolérant face à sa nouvelle livraison, projetée à Cannes après la sortie exclusive à la France de son trop ambitieux projet américain, Ma vie avec John F. Donovan.
Livre superbe sur la mort mystérieuse d’un génie de la peinture canadienne, mais aussi sur une nature sauvage splendide, Tom Thompson est tout simplement une expérience esthétique et narrative remarquable.
Une fresque intime en forme de chronique douce-amère sur les premiers émois adolescents et la découverte des vicissitudes des sentiments amoureux. Un beau portrait d’une jeunesse libre, rêveuse et passionnée.
Michel Rabagliati nous raconte l’adolescence de Paul, son héros emblématique et autobiographique, entre Jeux olympiques de Montréal et musique de Beau Dommage.
Après s’être laissé guider par une sorte d’instinct bavard te glissant à l’oreille « vas donc le voir, ça pourrait de plaire », il est bien agréable […]