Meurs, monstre, meurs : la bête humaine
Drame humain, film de monstre, expérience WTF, le tout perdu dans la pampa en Argentine : Alejandro Fadel signe un film austère et nébuleux avec […]
Drame humain, film de monstre, expérience WTF, le tout perdu dans la pampa en Argentine : Alejandro Fadel signe un film austère et nébuleux avec […]
Une jeune femme quitte l’amour de sa vie pour un autre homme qui en est le sosie physiquement. Un film délicat mais un peu opaque, laissant par moment un sentiment d’indifférence.
Palme d’or du Festival de Cannes 2018, Une affaire de famille de Kore-eda dresse le portrait bienveillant d’une famille où là solidarité s’érige en rempart face à la violence du monde.
Conte pop et kitsch totalement inclassable avec une star du foot neuneu comme héros principal, Diamantino n’oublie jamais, derrière son exubérance, de porter un regard critique sur notre monde fou fou fou.
Pierre Salvadori signe une nouvelle comédie portée par un duo improbable et attachant (Adèle Haenel et Pio Marmaï), sa meilleure sans doute avec Cible émouvante et Les apprentis.
Un homme et une femme s’aiment au temps du communisme et du Paris bohème. Pawel Pawlikowski signe un film élégant et beau, mais jamais bouleversant.
Après le film d’auteur pornographique, Lars von Trier s’essaie au film de serial killer introspectif avec The House That Jack Built. Méchant, foutraque et noir comme l’enfer.
Capharnaüm embarque le spectateur au sein d’une poignante odyssée dépeignant le destin de Zain, jeune réfugié syrien de 12 ans vivant clandestinement avec ses parents dans les bidonvilles de Beyrouth.
Lukas Dhont, pour son premier long-métrage, réalise un film simple et sensible sur un garçon voulant devenir fille, couronné à Cannes de la Caméra d’or, de la Queer Palm et du prix d’interprétation Un certain regard.
Le Russe Sergei Loznitsa nous propose un portrait fragmenté et acéré de son pays d’adoption meurtri par le joug de la Russie dominante. Un film complexe et éclaté… dans tous les sens du terme.