« Marcello Mio » de Christophe Honoré : ricordi della dolce vita
Bel hommage indirect à Marcello Mastroianni, Marcello Mio évite avec grâce tous les écueils déplaisants du « cinéma de l’entre-soi » et nous touche régulièrement au cœur.
Bel hommage indirect à Marcello Mastroianni, Marcello Mio évite avec grâce tous les écueils déplaisants du « cinéma de l’entre-soi » et nous touche régulièrement au cœur.
Entre un cinéma populaire à la Francis Veber et les comédies barrées d’Antonin Peretjatko, le premier film du duo Hugo Benamozig / David Caviglioli propose un divertissement convenu mais tout de même assez plaisant.
Quelle part de la Vérité, aventure au pays du cinéma français de l’immense Kore-eda, est-elle typique de son génie ? Une question qui occupera forcément l’esprit des fans du maître japonais en regardant cette réflexion très réussie sur le Cinéma.
André Téchiné s’empare d’un sujet d’actualité brûlant (la radicalisation islamiste) et livre une chronique intimiste sur des personnages face à leurs doutes et leurs convictions. Sobre, parfois touchant, mais inégal.
Pour son deuxième film, Kheiron (acteur et réalisateur) propose une fiction imparfaite mais hautement sympathique dont les qualités sont aussi nombreuses que les défauts.
Variation sur le temps qui passe, l’amour, la vieillesse et la mort, la dernière fantaisie de Vecchiali se déguste avec douceur.