« Marcello Mio » de Christophe Honoré : ricordi della dolce vita
Bel hommage indirect à Marcello Mastroianni, Marcello Mio évite avec grâce tous les écueils déplaisants du « cinéma de l’entre-soi » et nous touche régulièrement au cœur.
Bel hommage indirect à Marcello Mastroianni, Marcello Mio évite avec grâce tous les écueils déplaisants du « cinéma de l’entre-soi » et nous touche régulièrement au cœur.
Grosse journée pour la Compétition, avec trois films au programme pour ce mercredi 22 mai : Marcello Mio de Christophe Honoré, Parthenope de Paolo Sorrentino et Grand Tour de Miguel Gomez.
Christophe Honoré est-il un cinéaste important ? Voilà une question qui se pose vue la raréfaction des véritables auteurs dans le cinéma français. Si l’on a tendance à hésiter au moment d’y répondre, l’essai Christophe Honoré – les Corps Libérés permet d’y voir un peu plus clair dans une œuvre protéiforme.
Tragi-comédie « de remariage », sous la forme d’une fantaisie théâtrale, Chambre 212 interroge en son sein le couple, en mettant à nu de façon vivifiante : la fidélité, le poids des ans, le désir amoureux et la sexualité.
Sous l’égide de Rimbaud et de Koltès, Christophe Honoré filme les sentiments amoureux au temps du Sida et de Prefab Sprout dans son nouveau film présenté à Cannes : Plaire, aimer et courir vite.