Mon roi – Maïwenn
Histoire d’amour agaçante entre un connard narcissique et une avocate un peu relou, transcendée par deux acteurs hypnotiques.
Histoire d’amour agaçante entre un connard narcissique et une avocate un peu relou, transcendée par deux acteurs hypnotiques.
Yórgos Lánthimos met en scène le spectacle absurde d’une société malade de ses propres utopies, partagé entre éclats comiques et excès de confiance.
Grosse mécanique huilée trop longue, trop formatée et trop prévisible : Mars arnacks! En fait, tu croyais Matt Damon perdu sur une planète inconnue au […]
Un thriller noir charbon débarrassé d’affects et de psychologie pour n’en magnifier que le jus bouillant de la peur et des viscères.
Variation de style et d’époque pour Alice Winocour qui s’attaque, comme elle peut, au drame intimiste associé aux figures du film de genre.
Une première œuvre inégale et intrigante qui, d’une poésie rugueuse et d’abîmes sans fond, engendre le ballet singulier de mâles violentés par leur foi.
Bouillonnant, engagé, imparfait, le film de Nabil Ayouch témoigne des nombreux tabous d’une société en plein déni. Derrière les traditions, la grande mascarade.
Film de chambre en désordre, de lits défaits et de foutre, Love passe à côté du grand beau film qu’il aurait pu être à force de dialogues insipides et de narcissisme agaçant.
Un polar trouble qui, sans renouveler grand-chose du genre, reste captivant de bout en bout dans la description de cette Espagne rurale repliée sur elle-même.
Fourre-tout inégal et vibrionnant, Peter Greenaway, plus déchaîné que jamais, rend hommage à Sergueï M. Eisenstein avec faste et gaillardise.