« Seize printemps » : une bluette bubble gum goût grenadine
On ne retiendra pas grand-chose de Seize printemps, à peine quelques éclats dans la platitude de l’ensemble dont on se demande encore comment il a pu être financé.
On ne retiendra pas grand-chose de Seize printemps, à peine quelques éclats dans la platitude de l’ensemble dont on se demande encore comment il a pu être financé.
Il faut voir ou revoir en VOD Jeune femme, une subtile chronique audacieuse qui nous convie à suivre le destin de Paula, jeune femme abandonnée des autres, en reconstruction. Libre, comme le vent…
Découverte de la réalisatrice israélienne Michal Vinikavec avec en VOD le délicat « Petite amie ». Une injection prégnante pour nous replonger délicieusement dans notre innocence de nos toutes premières fois…
Alan Ball, le créateur de Six feet under, revient avec un second long métrage en forme de feel good movie prônant la différence et la tolérance. Plaisant et plein d’émotions, mais loin d’être follement original.
Kirill Mikhanovsky signe avec Give me liberty, une chronique loufoque et effrénée, narrant la journée rocambolesque de Vic, un jeune conducteur de minibus pour personnes en fauteuil roulant ou à mobilité réduite.
Un homme rencontre un homme, à Barcelone, entre hier, aujourd’hui et demain. Lucio Castro signe avec Fin de siècle un beau premier film sur la question de l’intime, du couple et de la solitude.
En 2006, sortait un petit bijou de ce cinéma indépendant Américain que l’on aime tant. Little Miss Sunshine tombait comme un cheveux sur la soupe dans une production Hollywoodienne survitaminée, offrant ce regard si mélancolique sur cette Amérique oubliée.
Delépine et Kervern mettent en scène trois personnages en guerre contre les géants d’Internet dans une comédie dramatique qui vise juste sans pour autant être totalement aboutie.
Avec ce film modeste et touchant, et par moment même assez drôle, Grégory Magne imagine la rencontre entre un chauffeur fauché et un nez sans inspiration, interprétés joliment par le duo Grégory Montel et Emmanuelle Devos.
Un conte ensoleillé où la psychanalyse sort dans la rue pour se confronter à la réalité d’une société tunisienne qui ne va clairement pas très bien : un film souvent drôle conjuguant réflexion et empathie.