« Joli joli » de Diastème : les chansons d’amour
Si la comédie musicale rebute toujours une grande partie des cinéphiles, il reste suffisamment d’adeptes, espérons-le, pour bien accueillir ce Joli joli qui enchantera les fêtes de fin d’année.
Si la comédie musicale rebute toujours une grande partie des cinéphiles, il reste suffisamment d’adeptes, espérons-le, pour bien accueillir ce Joli joli qui enchantera les fêtes de fin d’année.
Dans sa quête permanente de nouvelles formes cinématographiques lui permettant de rénover ses veilles obsessions, Audiard aborde avec Emilia Pérez le domaine improbable de la comédie musicale. Et réussit ce qui pourrait bien être son meilleur film à date.
En mêlant dans son ambitieux – et coûteux – hommage à sa ville qu’est New York, New York un hommage au cinéma de Vincente Minnelli ou de Stanley Donen et sa vision d’un art cinématographique plus intimiste, Scorsese livre un film inégal, mais régulièrement enthousiasmant.
Comme un cadeau de noël avant l’heure, Steven Spielberg nous présente son West Side Story. Une déclaration d’amour à un genre qui concentre à l’extrême le règne de la facticité virtuose. Un exercice de style plus que réussi pour l’auteur de La Liste de Schindler.
Les frères Larrieu se mettent à la comédie musicale à leur façon, décalée et hédoniste, sans se soucier une seconde de ce qui n’irait pas et de ce que l’on pourra en dire. Singulier certes, mais bancal pas mal.
Pas de réelle surprise avec Annette, la comédie musicale très attendue de Leos Carax et de Sparks : tant dans sa démesure géniale que dans ses faiblesses, il s’agit d’une œuvre singulière qui séduira les uns et irritera les autres.