Influencé (un peu) par le Thin White Duke et (beaucoup) par les Fab Four, The Ballad of Darren n’est pas un album majeur de Blur. Mais c’est celui du passage réussi du cap de la trentaine.
Cracker Island est un album « confortable » mais aussi la preuve que, même lorsque Gorillaz accuse une tendance à se reposer sur ses lauriers, ils restent mieux entretenus que ceux de la concurrence.
Si Damon Albarn est souvent associé aux iconiques Gorillaz et Blur, sa triple prestation à la Philharmonie de Paris le week-end dernier s’articulait exclusivement autour de « The Nearer the Fountain, More the Stream Flows ».
Dans la sélection de la semaine : IDLES, Damon Albarn, Courtney Barnett, Julien Bouchard, Gontard, Silk Sonic, The Dodos, L’Eclair, Jon Hopkins, Joel Vandroogenbroeck, Aesop Rock & Blockhead, Beach House, Endless Boogie, Mona Kazu, Cannibale, Cheval Fou…
Damon Albarn nous offre un nouveau petit bijou de mélancolie et de douceur. Confirmant un talent sans borne, l’auteur-compositeur s’amuse à brouiller les pistes et dresse un panorama surprenant de la Terre de glace, bien loin des habituels Sigur Ros ou Bjork.
Une seconde soirée du Festival Arte bien différente de la première : l’intensité punk de la veille a laissé place à la coolitude, à l’introspection, et à l’émotion aussi, d’un Damon Albarn très proche de son public de fans ennamouré(e)s.
Au programme : Eels, The Gluts, Aquaserge, Activity, Limousine, Ada Lea, Twin Toes, Leonie Pernet, Margot, Springtime, Max Ananyev, Uffie, Electric Eye, Pantin Plage, Reverend Baron, Damon Albarn, Kadhja Bonet, Constant Smiles, Jî Drû,…
La sélection de la semaine : Autour de Lucie, Cléa Vincent, Kids Return, Someone, The Bevis Frond, Sufjan Stevens & Angelo De Augustine, Stephen Fretwell, Allison Lorenzen, Jack Name & Aoife Nessa Frances, Damon Albarn, flora cash, Boost 3000…
17 titres pour faire le tour de l’actualité musicale avec Gorillaz, The Innocence Mission, Jim James, The Milk Carton Kids, The Balkanys, John Coltrane, Laure Briard, Let’s Eat Grandma, Happy Rhodes…
Avec un premier album sautillant, Hooton Tennis Club ravive la flamme de la brit-pop et rappelle que le rock anglais est éternel.