On connaissait déjà le rêve américain et son cauchemar. Ce que l’on connaît moins, ce sont ses limbes, des zones où les prédateurs sexuels sont confinés tels des morts-vivants, sans espoir de rédemption. C’est le thème central de ce sombre et fascinant thriller psychologique.
La 50e édition du Festival a pris fin sur une note colorée, avec l’attribution du fauve suprême à l’ouvrage remarqué de Martin Panchaud, La Couleur des choses.
Dragman, premier super-héros transgenre, accompagné de Dog girl tentent d’abattre le maléfique Black Mist qui rachète leur âme aux gens. Vont-ils y parvenir ? Vous le découvriez en lisant le roman graphique formidable de Steven Appleby.
Une histoire sordide, un scénario hallucinant et un dessin froid pour une quête journalistique qui nous plonge dans les méandres d’esprits pervers.
Fabrice Colin et Joelle Jolivet nous replongent dans mythique film Freaks à travers une bande dessinée très sombre où l’on suit le destin d’une jeune scénariste pris dans un engrenage infernal, condamné à devenir lui aussi un « monstre ».
Ce thriller futuriste captivant, qui nous emmène dans une France crypto-totalitaire, soulève bon nombre de questions philosophiques passionnantes. Au détriment d’une narration cumulant quelques incohérences…
Première œuvre d’un auteur libanais, cette bande dessinée atypique est un appel au soulèvement contre les pouvoirs iniques, doublé d’une réflexion philosophique sur la condition humaine.
Soucis, alcool et écriture vont de pair plus souvent que de raison. À travers Vie et mort d’un buveur, Jakob Hinrichs nous plonge dans un tourbillon infernal qui nous entraîne vers le fond…