Peu remarquée en France, la série Only Murders in the Building est pourtant un régal de comédie policière totalement vieux-jeu (« old fashioned ») qui évoque dans ses meilleurs moments certains films de Woody Allen du siècle dernier, dont elle pourrait bien être inspirée…
Alors que la franchise Star Wars est au plus mal, la plus récente tentative de réinjecter de la magie dans toute cette histoire ne s’avère pas vraiment convaincante…
The Bear est-il une réussite absolue comme ses fans le prétendent, ou bien au contraire une série chaotique, hystérique, et trop fatigante ? Quelle que soit l’opinion qu’on en a, il faut reconnaître qu’on est devant une œuvre sensiblement différente de ce que l’on voit en général sur les plateformes…
Etonnante mini-série profondément « feelbad », The Full Monty retrouve les personnages du film emblématique de 1997, alors qu’ils sont encore plus dans la mouise. Pour nous faire beaucoup rire, mais pour nous désoler encore plus !
Une zone à défendre, film français sur les ZAD, reçoit des volées de bois vert du fait de sa production et diffusion par Disney+. Mérite-t-il autant de haine ? Ce n’est pas du tout notre avis…
À vaincre sans péril, on sauve parfois les meubles. Peter Pan & Wendy se révèle non seulement regardable, mais aussi émaillé de quelques idées judicieuses. Ça n’a l’air de rien mais, chez Disney, la barre est si basse qu’on avait fini par oublier qu’elle existait.
On n’a jamais encore vu la Mafia italienne, et son abjection, dépeinte ainsi : du point de vue des femmes, ses premières victimes, avec objectivité et sans recours aux clichés du genre. The Good Mothers est une très grande série TV.
Déception avec cette troisième saison d’une série pourtant bien-aimée de tous, à laquelle on fait prendre un virage inutile et peu pertinent…
Une histoire (vraie) passionnante et un trio d’acteurs prestigieux ne suffisent pas à faire de Boston Strangler, copycat peu inspiré de Zodiac, le bon film qu’il aurait dû être.
Derrière une apparence de comédie dramatique new-yorkaise déjà vue (et même revue) chez Woody Allen ou Noah Baumbach, Anatomie d’un Divorce se débrouille habilement pour nous mettre devant nos propres préjugés.