Rétrospective Martin Scorsese : 20. Gangs of New York (2002)
Première collaboration avec Leonardo DiCaprio, Gangs of New York est un projet ancien dont la concrétisation se révèlera coûteuse à plus d’un titre…
Première collaboration avec Leonardo DiCaprio, Gangs of New York est un projet ancien dont la concrétisation se révèlera coûteuse à plus d’un titre…
Dans son premier film, Dissidente, largement inspiré par ses travaux documentaires, Pier Philippe Chevigny raconte l’exploitation d’ouvriers immigrés et guatémaltèques. Une manière dénoncer le système d’esclavagisme moderne qui sévit notamment au Québec.
Malgré quelques faiblesses d’écriture, Memory, le nouveau film de de Michel Franco, vaut le coup pour la fantastique incarnation de Jessica Chastain et Peter Sarsgaard, mais aussi pour la capacité du film à montrer la fébrilité de ses personnages.
Ryan Murphy et Gus Van Sant mettent en scène les rapports entre l’écrivain Truman Capote et un cercle de femmes de la haute société New Yorkaise. Une série de haute tenue, portée par un Tom Hollander magistral.
Juste après Les Nerfs à vifs et juste avant Casino, Scorsese choisit de porter à l’écran un roman d’Edith Wharton. Le Temps de l’innocence est un grand film romantique et luxueux, qui prouve que le style Scorsese peut aussi servir une forme de classicisme sublimé.
Premier long-métrage de Delphine Giratd, Quitter la nuit tient le spectateur en haleine pendant près de deux heures. Un drame qui se joue à trois pour une réflexion sans manichéisme sur la complexité des rapports entre hommes et femmes.
Jawad Rhalib livre un réquisitoire sans appel contre l’islamisme radical et une réflexion sur ce qu’est devenu le métier d’enseignant face à des manifestations de violence toujours plus prononcées. Parfois démonstratif, mais souvent convaincant.
Teddy Lussi-Modeste s’est inspiré de sa propre expérience pour raconter ce récit d’un jeune professeur accusé à tort d’harcèlement (et des conséquences qui vont avec). Un sujet fort pour un film en demi-teinte qui, in fine, nous laisse à notre frustration.
Un grand classique de la littérature polonaise adapté en rotoscopie, un format qui mélange ici peinture et prises de vue réelles, permettant ainsi une exacerbation des enjeux romanesques.
Avec son premier long métrage, Inchallah un fils, le réalisateur Amjad Al Rasheed suit le parcours d’une veuve qui peut se voir dépossédée de ses biens par son beau-frère. Un film tendu qui ne sombre jamais dans le misérabilisme.