Dunkerque – Christopher Nolan
Un nouveau film en demi-teinte pour Christopher Nolan, où les éléments techniques s’y meuvent avec brio, rendant au spectacle ses lettres de noblesse, au détriment de l’implication du spectateur.
Un nouveau film en demi-teinte pour Christopher Nolan, où les éléments techniques s’y meuvent avec brio, rendant au spectacle ses lettres de noblesse, au détriment de l’implication du spectateur.
À l’occasion de sa (re)sortie aujourd’hui en version restaurée, retour sur Stalker, le chef-d’œuvre d’Andreï Tarkovski.
Un huis clos psychologique en temps d’apocalypse, qui scrute la lente destruction de deux familles jusqu’au noir de l’abîme.
Au cœur d’une nature farouche et d’intérieurs stricts, Oldroyd en magnifie la noirceur, le fiel et la modernité avec une douceur étonnante.
Avec Orpheline, Arnaud des Pallières signe un parti pris audacieux dans un film qui agace avant de convaincre.
Film surprenant qui prend à contre-pied le spectateur, Loving fait le pari du romanesque et de la modestie en regardant des personnages saisis à hauteur d’homme.
Dans « Personal shopper », Assayas s’aventure dans le mélange des genres, s’y perd, y croit, y brille, avec Kristen Stewart en muse fantomatique.
Drôle et mélancolique à la fois, Captain Fantastic est un film aux allures d’aventure humaine questionnant nos propres rapports au monde.
Avec une histoire ancrée au sortir de la première guerre mondiale, François Ozon signe un très grand film sur le mensonge, résolument moderne, avec un Pierre Niney impeccable.
A l’abri du besoin, Rosangelina semble avoir une vie bénie des dieux. Il suffira d’un sourire, angélique et obsédant, celui de sa cousine pauvre, pour bousculer tout ce bel équilibre.