« The innocents » d’Eskil Vogt : jeux interdits
Sans esbroufe dans ses effets et dans sa forme, The innocents finit par souffrir de cet aspect hyper-maîtrisé, comme empêché par sa propre virtuosité.
Sans esbroufe dans ses effets et dans sa forme, The innocents finit par souffrir de cet aspect hyper-maîtrisé, comme empêché par sa propre virtuosité.
Après la chronique intimiste et le drame familial, Joachim Trier s’essaie au fantastique avec plus ou moins de bonheur, réussi par instants, mais frustrant dans sa globalité.