[Apple TV+] Téhéran – Saison 2 : le déclin
Grosse chute de qualité pour Téhéran avec cette seconde saison, certes divertissante, mais ayant perdu toute vraisemblance et pertinence politique.
Grosse chute de qualité pour Téhéran avec cette seconde saison, certes divertissante, mais ayant perdu toute vraisemblance et pertinence politique.
Belle surprise que ce Harry Palmer – The Ipcress File, adaptation d’un film d’espionnage de 1965 avec Michael Caine dans le rôle titre. Enlèvements, trahisons, bombe atomique et retournements de veste sont au programme de cette réjouissante minisérie !
Rien à faire, à chaque fois les génies de Netflix se plantent quand ils essaient de combattre Hollywood sur son terrain, même le plus convenu ! Et the Gray Man est quand même un plantage à 200 Millions de dollars, ça doit faire mal…
Martin Leprince a soumis deux anciens espions, Sergueï Jirnov du KGB et François Waroux de la DGSE, à une interview commune pour démythifier les espions et leur rôle et mettre en évidence tout ce qui séparait cette fonction dans les services secrets russes et français.
Varsovie 83, une affaire d’État ou l’histoire vraie d’un étudiant assassiné par la police de Jaruzelski en 1983. Un film qui déroule avec précision les éléments clés de ce drame, racontant comment le régime en place a tout mis en oeuvre pour étouffer l’affaire.
N’espérez pas James Bond, Jason Bourne ou même Jack Ryan en regardant le Couteau par la Lame : par contre, les fans de John le Carré pourrons y trouver leur compte, avec une belle histoire d’amour en bonus…
Totems n’est pas le Bureau des Légendes, oh non ! Il a, malgré un budget conséquent, plus l’allure d’une médiocre série télévisuelle des années 80, avec des acteurs qui galèrent sur un script maladroit. Notre opposition renouvelée avec la Russie mérite définitivement mieux que ça !
Avec la mini-série Alger confidentiel, Adbel Raouf Dafri et Frédéric Jardin tissent un thriller géopolitique complexe mais dans lequel on ne s’égare jamais grâce à un scenario bien ficelé et une intrigue captivante.
Oh, qu’elle commençait bien, cette série britannique d’espionnage ! Et qu’il est décevant de voir le scénario de Vigil se perdre peu à peu dans une accumulation d’invraisemblance et de positions idéologiques pour le moins discutables !
Dernière apparition pour Daniel Craig avec Mourir peut attendre, une pièce montée sans âme, un opus qui se prend les pieds dans le tapis avec son intrigue alambiquée et dénuée d’intérêt, ses trahisons en cascade et ses morts à la chaîne.