[Canal+] Killing Eve – Saison 2 : les lois de l’attraction
Pas forcément bien meilleure que la première saison de Killing Eve, cette seconde tournée confirme aussi bien l’originalité de la série – qui reste addictive – que ses faiblesses…
Pas forcément bien meilleure que la première saison de Killing Eve, cette seconde tournée confirme aussi bien l’originalité de la série – qui reste addictive – que ses faiblesses…
Avec cette seconde saison, nettement inférieure à la première, l’adaptation au goût du jour des thrillers d’espionnage de Tom Clancy confirme ses grosses faiblesses, tant en termes de crédibilité que de simplisme idéologique.
Jean-Philippe Toussaint propose un roman d’espionnage à sa manière qui nous plonge dans les arcanes des institutions européennes et aborde le thème du stockage et de la protection des données informatiques.
Il y a finalement trop peu de films ou de séries d’espionnage « sérieux » pour qu’on boude The Spy, le récit de l’incroyable mais vraie infiltration d’un agent israélien en Syrie.
Déception que ce The Operative mal rythmé, auquel Diane Kruger ne parvient jamais à conférer une véritable crédibilité.
John Le Carré n’a jamais été ni tendre ni complaisant envers les services secrets britanniques dont il a brièvement fait partie. « L’Héritage des Espions », formidable « mindfuck », pourrait bien être le dernier clou dans le cercueil d’une époque révolue. Et presque oubliée…
Après un démarrage remarqué en 2011 avec un thème d’actualité – le retour des prisonniers de guerre d’Irak – d’ailleurs inspiré de la remarquable série israélienne Hatufim, Homeland a exploré différents sujets et même différents genres, avec un succès variable. La saison 7 n’est pas franchement une réussite.
Nous aimons passionnément les séries anglaises, et faisions un immense crédit à Bodyguard, dont le scénario paranoïaque colle bien à l’actualité. Mais les choses ne s’avèrent malheureusement pas si simples…
Jean Harambat propose une comédie d’espionnage à l’ancienne, sur fond de guerre 39-45 et de cinéma avec en guest David Niven et Peter Ustinov !
Un James Bond classieux et claudicant, et l’adieu aux armes pour un Daniel Craig de moins en moins inspiré.