« Marcello Mio » de Christophe Honoré : ricordi della dolce vita
Bel hommage indirect à Marcello Mastroianni, Marcello Mio évite avec grâce tous les écueils déplaisants du « cinéma de l’entre-soi » et nous touche régulièrement au cœur.
Bel hommage indirect à Marcello Mastroianni, Marcello Mio évite avec grâce tous les écueils déplaisants du « cinéma de l’entre-soi » et nous touche régulièrement au cœur.
Retour délirant sur une France des années 30 masculine dans laquelle Ozon injecte le militantisme moderne, Mon Crime est une caricature dans laquelle les acteurs s’en donnent à cœur joie, et un bel hommage au cinéma fantaisiste de l’époque.
On applaudit à deux mains devant le fait qu’une comédie populaire s’attaque au sujet difficile et polémique du changement de genre. On pleure de rage devant la pusillanimité d’un film qui préfère éviter tous les sujets qui fâchent pour prôner la force des bons sentiments.
Tentative de réflexion sur la disparition des idées dans la politique de gauche, Alice et la Maire n’est malheureusement pas au niveau de ses ambitions, même s’il reste un constat salutaire…
On avait mis beaucoup d’espoir dans le Mystère Henri Pick, du fait de son beau sujet sur le mystère de l’inspiration, et de la présence de Luchini, parfait pour incarner Pivot, et on se trouve bien déçus…
Le cinéma de Bruno Dumont n’a jamais fait l’unanimité. Plus encore avec Mal Loute, sa première comédie au cinéma, l’auteur de l’humanité divise nos critiques.
En marge de son one-man-show dédié à la lecture de textes de ses auteurs de référence, Fabrice Luchini livre cette autobiographie décalée.
Davantage œuvre de procès que véritable histoire d’amour, L’hermine observe un juge bougon et grippé redécouvrant le goût de la vie.
On ne peut dénier au cinéaste François Ozon le mérite du renouvellement qui, après tout, n’est pas si répandu chez les créateurs d’art. Après la […]