A l’occasion de son très attendu et très réussi premier album, Swirl, nous avons pu rencontrer Flora Hibberd, autrice-compositrice anglaise vivant à Paris, dont nous avions pu apprécier la présence sur scène.
Le chanteur folk, Louis Durdek, fait paraitre Unnamed Road, in premier album solo qui dévoile bien des influences, dont certaines se retrouveront sans aucun doute dans sa sélection 5+5.
Regular Girl incarne la discrétion d’une artiste censée atteindre une pureté ascétique. Son album éponyme contient justement toute la beauté d’un monde qui aspire au silence. Ici, nous sont dévoilés les liens où l’ombre et la lumière se rejoignent.
Auréolée d’un succès croissant grâce aux réseaux sociaux, Faye Webster n’a pas l’intention de modifier sa perception artistique : Underdressed at the Symphony, son 5ème album, épaissit encore un peu plus la couche indie-rock sous un fond mélancolique teinté de légèreté.
Grosse découverte du moment, le premier disque de Loverman, Love Songs, est un album classique de rupture amoureuse, empruntant des formes établies par les plus grands. Et pourtant, presque sans effort, il s’impose comme leur égal…
Parce que nous l’avions manquée lors de son passage à Paris, il nous fallait nous rattraper et voir comment Indigo Sparke transposait sa musique si délicate et ambitieuse à la fois sur scène. A Madrid, les conditions n’étaient pourtant pas des plus favorables…
Entre folk des Appalaches, tradition dévoyée et drone osseux, le duo américain Magic Tuber Stringband signe avec Tarantism un quatrième album bien difficile à classer. Entre American Primitivism et retour à un Folk d’avant les origines et d’avant l’électricité.
Magnifique concert d’Alela Diane hier soir au Trianon : entre son chant peut-être encore plus beau qu’autrefois et un backing band subtil, il n’y a avait rien à redire à une heure et demie qui a frôlé le sublime.
Pour son nouvel album en compagnie du Second Hand Orchestra, l’écossais James Yorkston a convié la suédoise Nina Persson pour livrer une collection de chansons folk délicates et profondes, dont la beauté hivernale est d’autant plus saisissante qu’elle se pare d’une amertume universelle.
C’est la reprise pour nous, et si l’année 2023 est du niveau de cette release party du nouvel album de James Yorkston, plus qu’aidé par la divine Nina Persson, elle sera sacrément belle !