Filles de joie – Anne Paulicevich et Frédéric Fonteyne : triste bordel
Le quotidien pas rose de femmes pas épargnées par la société (et par les hommes) : Filles de joie, à force de crouler sous des penchants misérabilistes et autres velléités revendicatives maladroites, finit surtout par ne pas épargner le spectateur.