Les sorties d’albums pop, rock, electro, rap, jazz du 10 janvier 2020
On démarre 2020 doucement avec Field Music, Georgia, Double Date With Death, The Electric Soft Parade, Mick Jenkins, Michael Malarkey, Georgia, The Chap, ephemerals…
On démarre 2020 doucement avec Field Music, Georgia, Double Date With Death, The Electric Soft Parade, Mick Jenkins, Michael Malarkey, Georgia, The Chap, ephemerals…
The Schizophonics est sans doute actuellement le groupe de garage le plus spectaculaire en concert. Le nouvel album de ces rockeurs de San Diego, People in the Sky, rend enfin honneur à leur talent.
En tournée pour promouvoir leur sixième et excellent album, Dark Thoughts, The Shivas nous ont offert une soirée plaisante, mais un tout petit peu en deçà de ce que l’on peut attendre d’eux…
En équilibre surprenant entre les joies forcenées du garage rock et l’angoisse existentielle propre à leur génération, The Shivas nous proposent un sixième album, Dark Thoughts, qui dépasse aisément les limites du genre.
Oui, King Gizzard & the Lizard Wizard ont évolué depuis leurs cinq albums de 2017 : moins krautrock et garage, un peu moins prog rock, ils restent irrésistibles avec leur boogie multicolore.
Les deux groupes phares actuels de la jeune scène rouennaise, MNNQNS et We Hate You Please Die, sont venus jeudi soir respirer le bon air pur de Paris et bouter le feu à une Maroquinerie qu’ils ont mise à genoux !
On est début septembre et ça devient une (excellente) habitude : un an et un jour exactement après leur dernier passage à Paris, les Oh Sees sont en ville…
Au risque de désorienter encore plus son public, voilà que John Dwyer nous offre une heure vingt de jazz rock dilué. Un album ennuyeux ? Pas si sûr que ça !
Et si le secret le mieux gardé – mais de moins en moins – de la scène d’Atlanta, c’était Mattiel, sorte de sœur jumelle de Courtney Barnett, qui revisite et actualise magistralement les standards américains grâce à un chant combattif et puissant ?
Peut-on être heureux en tant qu’adulte en jouant du punk rock pour un public pour le moins limité ? Voilà la question existentielle que pose le nouvel album de Mike Krol, « Power Chords ».