[Netflix] Wounds de Babak Anvari : horreur mentale et cafard(s)…
Après Under the Shadow, film singulier à la bonne réputation, Babak Anvari confirme ses ambitions dans « l’horreur mentale » mais peine à nous embarquer dans sa nouvelle oeuvre…
Après Under the Shadow, film singulier à la bonne réputation, Babak Anvari confirme ses ambitions dans « l’horreur mentale » mais peine à nous embarquer dans sa nouvelle oeuvre…
Stephen King inadaptable ? C’est devenu une banalité que de déplorer les difficultés du cinéma à transformer les visions du « maître de Bangor » sous forme cinématographique, et ce n’est pas Dans les Hautes Herbes, la toute dernière production Netflix, qui changera grand chose…
Avec son second film, Midsommar, Ari Aster nous propose une expérience radicale, qui ne sera pas de tous les goûts mais confirme la naissance d’un très grand cinéaste.
Alors que le troisième volet de sa série à succès Stranger Things vient d’être mise en ligne par Netflix, il est temps de faire un petit bilan sur cet « objet de désir » qui provoque à chaque nouvelle saison bien des débats.
Y a-t-il dans le fantastique un sous-genre que l’on pourrait qualifier de « l’organe transplanté hanté » ? Si oui, alors Chambers s’inscrit en plein dans ce sous-genre, mais va heureusement chercher un peu d’originalité en explorant cette bonne vieille lutte des classes transposée aux USA.
Peut-être qu’un rêve de « film Netflix », c’est finalement quelque chose comme ce The Perfection, un grand moment de montagnes russes, une assez irrésistible décharge de plaisir bien vulgaire. Pour cette fois, ça nous ira !
Imaginez… Dans un Paris Second Empire à la sauce comics, Vidocq rencontrerait Jules Verne en pourchassant un Jack l’éventreur français… Pas banal, certes, mais ce tome introductif déçoit malgré ses qualités indéniables…
A partir du thème classique de la maison hantée, Mike Flanagan réussit contre toute attente avec The Haunting of Hill House une série parfaite, improbable relecture de Six Feet Under par Stephen King.
Ce long métrage inattendu sous la forme d’un torture porn, plongeant le spectateur dans une abîme intime, offre un ingénieux cauchemar poétique empli de poupées de cire, de chair et de sang. Bienvenue dans Ghostland !
Pour son premier long-métrage, Ari Aster signe un film d’horreur et d’angoisse réussi dans la lignée des récents The Witch et It comes at night, hanté par une Toni Collette en mode Possession.