Jonathan Bree – Pre-Code Hollywood : « Je suis ton monstre ! »
Avec son cinquième album, Jonathan Bree, notre cher Néo-Zélandais masqué nous offre un constat accablé de notre impuissance déguisé en grand disque de pop synthétique.
Avec son cinquième album, Jonathan Bree, notre cher Néo-Zélandais masqué nous offre un constat accablé de notre impuissance déguisé en grand disque de pop synthétique.
Comment faire de l’indie pop à Paris en 2023 ? En y ajoutant des cuivres et en parlant directement au cœur de tout un chacun, répondent En Attendant Ana qui nous offrent avec Principia leur meilleur album à ce jour.
Le nouvel album instrumental de Mac de Marco, Five Easy Hot Dogs, est actuellement diffusé dans un ascenseur un peu particulier. Or, même dans l’au-delà, les avis divergent…
Croyez-nous, on ne tombe pas tous les jours sur un EP comme ce Handprint Negatives des Néo-Zélandais de Ha The Unclear : cinq chansons stupéfiantes, qui parcourent à toute allure plein de genres musicaux, et qui nous donnent l’impression de découvrir un futur groupe majeur.
Meilleur remède à la nostalgie stérilisante, Late Developers replace Belle & Sebastian au sommet. Inspiré, léger, doux-amer comme on aime, résolument tourné vers l’avenir, voici un album qui ridiculise les tristes adeptes du « C’était mieux avant ! ».
Vous avez kiffé Wet Leg, Mattiel, The Beths et Alvvays ? Vous vouliez encore un peu d’indie pop rusée pour 2022 ? Voici Tchotchke, dont le premier album devrait faire votre bonheur.
Le quintette de Charlottetown continue d’affûter son écriture sur son troisième opus, scintillante réussite de jangle pop contagieuse, servie par des guitares futées et des refrains tous plus entêtants les uns que les autres. Leur meilleur album à ce jour ?
Avec Tangerine, les parisiens de Persica 3 nous offrent 7 morceaux pour 25 minutes d’une musique lumineuse et sensible, chaleureuse et riche (et simple à la fois). Des morceaux superbes de subtilité, de joie, de sérénité.
Sans Internet, voilà un groupe qui n’aurait pas vu le jour. Ce qui nous aurait privé d’un premier album blindé de super chansons indie-pop 90’s. Ce groupe c’est Meyverlin, ils sont français et nous ramènent tout droit aux années Bernard Lenoir.
Captivante, la pop rêveuse de Pastel Coast s’épanouit de belle manière sur leur second album, le bien nommé Sun. Les français touchent presque la perfection même si l’influence de Phoenix reste persistante.