Album inattendu pour tout un tas de bonnes (le changement de style musical) et de mauvaises raisons (la drogue), Serf’s Up! prouve qu’on a raison de continuer à espérer le meilleur de Fat White Family.
La Boule Noire a été prise d’assaut par les fantastiques fans d’une jeune Norvégienne à peu près encore inconnue, qui chante sa vie amoureuse « gay » avec une honnêteté et une sincérité confondantes. Mais sur scène, girl in red, c’est surtout du rock qui remue, et c’est tant mieux.
Le quatrième album de Local Natives, “Violet Street” vient juste de sortir, et le Point Ephémère affichait complet hier soir pour le retour à Paris d’un groupe qui s’est un peu assagi.
Puisque la célébration des genres passés est un exercice quasi obligé de notre époque qui recycle à tout va, pourquoi ne pas, comme The Stroppies, retrouver les joies lumineuses du Dunedin Sound des années 80 ? Nous, on est plus qu’enthousiastes, pour le coup !
Depuis 2018, deux des frères Sourice poursuivent l’aventure The Thugs en bonne compagnie au sein de L A N E. Il était temps d’aller les rencontrer là où ils excellent : sur scène !
Depuis la sortie de son dernier album qui a fait parler de lui, Sharon Van Etten est (enfin) la « next big thing » du rock. Son passage à la Maroquinerie l’a superbement confirmé.
Guitares acérées, son lo-fi, esprit foutraque et je m’en foutiste, un soupçon de cynisme et une grosse dose de cool… Tout y est pour un Freakenstein qui s’installe direct dans mes albums de chevet pour 2019.
Sunshine Rock est le titre improbable du nouvel album de Bob Mould, qui retrouve le goût de la vie, du bonheur et des chansons plus « pop » de sa période Sugar, sans pour autant rien oublier de sa rage et de sa furie électrique.
Parmi les nouveaux groupes à suivre de près en ce début d’année 2019, il y a les australiens de The Stroppies.
Le gène musical et l’amour du Velvet se transmet-il de père en fils ? On le dirait bien en écoutant The Goon Sax, groupe du fils du génial Robert Forster…