Sans être un « grand Donjon », En Sa Mémoire est un divertissement solide, respectant les codes inventés par Sfar et Trondheim, tout en constituant une petite échappée par rapport au sujet central de la série.
Grâce au superbe graphisme atypique de David B., mais aussi à un scénario qui apporte des éléments importants à la compréhension de l’univers du Donjon, tout en dégageant une émotion inédite, Réveille-toi et meurs se place d’emblée parmi les plus grandes réussites de Sfar et Trondheim.
Rentrer chez soi, plus facile à dire qu’à faire quand on est juif. En questionnant cette idée de plus en plus pertinente en notre époque de migrations massives, Sfar poursuit son entreprise, de salut public, consistant à dévoiler l’hypocrisie et la bêtise de l’intolérance.
Le premier épisode de Donjon Antipodes +, surprenant nouveau courant d’un Donjon de plus en plus foisonnant, ne nous convainc pas totalement, mais la créature monstrueuse de Sfar et Trondheim reste vigoureuse !
Si l’on a bien du mal à voir comment ce nouveau cycle, inventé par Trondheim et Sfar pour leur grand retour, se raccorde à l’univers du Donjon, il faut bien reconnaître que l’Armée du Crâne est une belle réussite !
Cadeau inespéré pour tous les fans en manque depuis 5 ans, le retour du Donjon de Sfar et Trondheim, avec deux nouveaux volumes. On se penche déjà sur le tome 7 de Donjon Zénith…
Choix surprenant, Dargaud confie les rênes de Blueberry à deux pointures, a priori éloignées de l’univers de Giraud et Charlier : Joann Sfar au scénario et Christophe Blain au dessin.
Curieux retour aux origines de la saga, la Reine de Shabbat échoue à nous passionner malgré de belles idées scénaristiques et une recrudescence de « l’humour félin ».
Un an, presque jour pour jour, après le lancement de sa nouvelle héroïne monstrueuse, Aspirine, Joann Sfar publiait un second tome de ses aventures, suggérant que cette saga pourrait bien désormais occuper une place centrale dans son œuvre pléthorique…
Déjà le huitième tome des aventures du Chat du Rabbin, toujours bavard et toujours préoccupé par le bonheur des humains, qui eux s’égarent dans un méli-mélo rohmerien.