Malgré certaines limites dans l’écriture, dans certains discours un peu trop appuyés, Ken Loach nous offre avec The Old Oak un film plein d’humanisme où la question sociale occupe encore une place centrale.
Benoît Collombat et Damien Cuvillier sont allés enquêter auprès de spécialistes pour comprendre comment les hommes politiques ont favorisé l’explosion du chômage de masse depuis 50 ans. Un travail passionnant, superbement restitué dans un livre riche d’enseignements.
A l’occasion de la sortie du film Sorry We Missed You, France Culture diffuse un passionnant A voix nue avec Ken Loach enregistré en compagnie de Pierre Chassagnieux dans lequel le cinéaste Britannique de 82 ans revient sur son beau et long parcours.
Et voilà que se répète pour ce Sorry I Missed You le même scénario que pour le précédent film de Ken Loach : il y a ceux qui déplorent que le militantisme passe avant le Cinéma, et ceux qui jugent que l’état de notre monde fait que la démarche d’un Loach est essentielle….
Une Palme d’Or 2016 qui ne fait pas l’unanimité. Un Film nécessaire et bouleversant qui vise juste ou bien un film plombé par des personnages vus comme des symboles de la misère moderne ? Moi, Daniel Blake divise la rédaction de BENZINE.
Pedro Almodóvar, les frères Dardenne, Xavier Dolan, Jim Jarmusch, Ken Loach, Sean Penn et Woody Allen à l’affiche du 69e Festival de Cannes.
Encore une série policière anglaise, me direz-vous ? Peu importe, c’est ici Ken Loach qui est convoqué dans ce drame social et policier poignant, parfait.
A plus de soixante-dix ans, le britannique Ken Loach atteint pour la première fois une certaine légèreté, sans renier ses principes ni ses convictions de cinéaste marxiste, lucide et engagé, qui n’a eu de cesse de montrer et de dénoncer les ravages du thatchérisme