Après un demi-mois de décembre 2024, les choses démarrent très doucement avec les concerts en cette nouvelle année. Comme d’habitude, nous direz-vous ? Oui, c’est un fait, peu d’artistes internationaux ont encore débuté leurs tournées… mais on trépigne quand même d’impatience !
On sait depuis un bon moment que les jeunes rockers de Dynamite Shakers sont incontournables… et voilà que de plus en plus de gens s’en rendent compte eux aussi. Du coup, la Boule Noire était complète hier soir pour un nouveau triomphe scénique du groupe !
Novembre est traditionnellement un mois d’activité frénétique sur le front des concerts : alors que se rapproche la fin d’année, et que chaque semaine voit une inflation des sorties de nouveaux albums, les artistes investissent en masse nos salles pour nous convaincre de la valeur de leurs dernières créations !
Après un mois de mai roboratif, voici un mois de juin fastueux, avec en particulier un retour en force des poids lourds des 90’s : Jane’s Addiction, Green Day, Smashing Pumpkins ! Signalons aussi que l’inusable Rod Stewart passera à la fin du mois relever les compteurs…
Paris brûlait littéralement lundi soir : fallait-il aller voir Clapton, Fat White Family ou Beth Gibbons ? Il aurait été mieux de ne pas avoir à choisir, et nous avons finalement préféré la release party française de Contigo, le nouvel album – superbe – de J. Bernardt.
En Mai, « faites ce qu’il nous plaît » ? Un agenda des concerts aussi peu nourri n’est guère une raison de se réjouir. Parmi les gros morceaux, on notera les Black Keys, Clapton, Beth Gibbons, The Kills, les Black Crowes et quelques autres…
Après un mois de mars chargé, les aficionados de la musique live pourront prendre un peu de repos. Pas d’inquiétude néanmoins : Echo and the Bunnymen, Yard Act, And Also The Trees, Porridge Radio, Altin Gün, The Jesus and Mary Chain, Simple Minds, Timber Timbre, Cat Power, et bien d’autres passeront par Paris !
Comment se plaindre de pouvoir voir en mars des groupes majeurs comme Depeche Mode, IDLES ou Pixies, et d’alterner entre ces « événements » et des soirées partagées avec des chouchous comme Nits, Gruff Rhys, Adam Green ou Elliott Murphy ?
Nul meilleur endroit pour passer la soirée de la Saint-Valentin que la Boule Noire, puisque Loverman y jouait un set vivifiant et surprenant, transformant des chansons pour cœurs brisés en célébration collective.
Gros évènement hier soir pour les amateurs de Blues vivant et excitant, le passage des Bostoniens énervés de GA-20 : aucune déception au sortir de ce set énergique et racé. La pure classe !