C’était le concert que nous attendions le plus en ce début d’année, et Porridge Radio ne nous a pas déçus : Dana Margolin nous a ravagé le cœur et offert une heure de catharsis magnifique.
Nous étions impatients de découvrir sur scène les titres du fabuleux dernier album de Emily Jane White, Alluvion, et elle ne nous a pas déçus, hier soir à la Boule Noire…
France Inter et Michka Assayas nous ont offert mardi soir l’occasion inespérée de retrouver Metronomy dans le cadre très intime de la Boule Noire…
Concert « secret » de girl in red, annoncé discrètement sur les réseaux sociaux deux jours avant, avec entrée gratuite mais accès très limité aux 100 premières personnes : l’occasion parfaite de revoir dans une petite salle une artiste qui est déjà passée à une dimension bien supérieure…
Hier après-midi, pendant que la Région Parisienne était balayée par un orage terrible, la belle énergie de TH da Freak et l’élégance mélodique de Hoorsees nous ont protégés des éléments déchaînés. C’était à la Boule Noire, la « Release Party » de l’album de Hoorsees…
Une soirée originale mercredi à la Boule Noire avec GaBlé qui nous offrait un ciné-concert et Jeffrey Lewis qui nous racontait la belle histoire du Punk Rock new-yorkais !
Sans doute du fait de sa retenue naturelle, Robert Forster a échoué jeudi soir à la Boule Noire à créer assez d’empathie avec son public pour élever au niveau qu’elles méritent ses très belles chansons.
La Boule Noire a été prise d’assaut par les fantastiques fans d’une jeune Norvégienne à peu près encore inconnue, qui chante sa vie amoureuse « gay » avec une honnêteté et une sincérité confondantes. Mais sur scène, girl in red, c’est surtout du rock qui remue, et c’est tant mieux.
La Boule Noire aurait dû être sold out samedi soir pour célébrer la musique radicale et hypnotique de FEWS, un groupe qui réinvente le Post Punk en y injectant une bonne dose de krautrock.