Gros évènement au cœur d’un été parisien traditionnellement calme, le passage à Paris des formidables Japonais krautrock de Minami Deutsch. Conclusion : « le Rock est tout sauf mort ». Et « Vive le Japon ! »
Venus au Supersonic pour applaudir Olivier Rocabois, qui nous a offert un set impeccable, et même flamboyant, nous sommes aussi tombés sous le charme de Marc Desse, qui a l’élégance d’un Daniel Darc et est porté par un groupe assez extraordinaire.
Il y a heureusement des gens qui aiment le Rock et aiment aussi rire, et le Festival Restons Sérieux n’hésite pas à mettre en avant des groupes aussi singuliers que les fabuleux Irninin Mons ou les délirants les Clopes. Récit d’une soirée agitée.
Belle ouverture du Festival Restons Sérieux au Supersonic hier soir, avec un Metro Verlaine très impressionnant de force et de splendeur sombre, qui sait transcender ses influences cold wave. On en redemande !
Soirée d’échauffement au Supersonic pour le retour sur scène en France des californiennes de Death Valley Girls, les reines du « California Doom Boogie ». La nuit a été mouvementée !
Avec la chaleur exceptionnelle qui régnait sur Paris, était-il bien raisonnable de rajouter l’ambiance torride d’un concert des princes du garage rock français, Dynamite Shakers, de passage au Supersonic ?
Voilà presque 10 ans que le duo montréalais des Deuxluxes existe, et qu’il reste inconnu dans une France pourtant accueillante vis à vis de ceux qui portent bien haute la bannière du Rock’n’Roll. Ils étaient en tête d’affiche au Supersonic, pour un concert que nous n’aurions manqué pour rien au monde.
Parfaite soirée de panorama du Rock français actuel au Supersonic ce mercredi avec les Parisiens de The Choices, les Lyonnais de Quai Bondy, et surtout les Rennais de Clavicule, qui ont confirmé qu’ils sont un groupe majeur de notre excellente scène nationale.
Un bénéfice réel de la situation difficile que nous vivons encore, c’est de découvrir des talents venus d’autres pays européens. Par exemple, samedi soir, le Supersonic accueillait le groupe hollandais dont tout le monde parle, Personal Trainer…
Deux têtes d’affiche, pas moins, pour la troisième soirée du Supersonic revenu (enfin !) s’installer dans ses murs après deux saisons en plein air au Trabendo. Et ça a chauffé sévère rue Biscornet !