« Marcello Mio » de Christophe Honoré : ricordi della dolce vita
Bel hommage indirect à Marcello Mastroianni, Marcello Mio évite avec grâce tous les écueils déplaisants du « cinéma de l’entre-soi » et nous touche régulièrement au cœur.
Bel hommage indirect à Marcello Mastroianni, Marcello Mio évite avec grâce tous les écueils déplaisants du « cinéma de l’entre-soi » et nous touche régulièrement au cœur.
Le dernier Woody Allen est-il un bon film ? Non, pas vraiment. Mais est-il une horreur absolue, la preuve ultime de la dégénérescence d’un grand auteur que l’on souhaite « canceler », pour utiliser un terme à la mode ? Non, pas non plus…
L’Amour et les forêts de Valérie Donzelli raconte l’emprise toxique d’un mari sur son épouse dans un véritable thriller, raconté du point de vue de la femme. Une adaptation réussie du roman Éric Reinhardt présentée à Cannes hors-compétition.
Le dernier et superbe film de Mia Hansen-Løve nous parle avec intelligence et sensibilité de la vie qui s’éteint et de celle qui naît, mais aussi de notre rapport à la pensée. Léa Seydoux y est éblouissante.
Arnaud Desplechin retrouve les obsessions et les motifs (les névroses et les haines familiales, la mort…) qui se déclinent depuis toujours dans son cinéma avec ici un mélodrame vibrant mais aussi quelques sorties de route presque embarrassantes.
Notre chroniquer évoque quatre films présentés ce vendredi 20 mai à Cannes…où il sera question d’une lutte de pouvoir chez les imams, d’une chronique familiale, de la vie d’impératrice et d’une enquête ténébreuse…
Ovni(s) revient pour une seconde partie dans l’exacte continuité de la première saison datant de 2021. On y retrouve ce même humour burlesque, ce sens des situations absurdes et cocasses qui ont fait le sel de la première saison dévoilée en 2021.
OVNI(s), la série Canal+ très attendue de ce début 2021 peine à convaincre malgré un projet original et un casting de choix. La faute à une histoire et un scénario trop foutraques qui finissent par lasser.
Désormais important diffuseur de podcasts au même titre que Itunes, Spotify se lance dans la production avec, pour le public francophone, Initials S.G. un podcast en 6 épisodes consacré à Serge Gainsbourg.
François Ozon signe un film-enquête irréprochable, fort et touchant, mais figé parfois dans l’exigence du propos et son cadre très factuel.