
« La Cache » de Lionel Baier : la famille Boltanski
Drôle de film maladroit, mais à la maladresse visiblement voulue, la Cache est une frustration douloureuse jusqu’à une dernière demi-heure superbe, qui nous aide à pardonner ce qui a précédé.
Drôle de film maladroit, mais à la maladresse visiblement voulue, la Cache est une frustration douloureuse jusqu’à une dernière demi-heure superbe, qui nous aide à pardonner ce qui a précédé.
Michel Blanc offre une suite tardive et un peu superficielle de son film Embrassez qui vous voudrez (2002). Pas forcément utile mais pas désagréable pour autant.