Encore une série TV qui n’a pas su s’arrêter à temps : pourquoi a-t-il fallu faire jouer la photocopieuse dans une troisième saison de Umbrella Academy qui a perdu sa magie et répète des trucs déjà vus et revus, sans imagination ?
Film de 90 minutes découpé en épisodes de 10 minutes, Seul face à l’abeille narre le combat dantesque et délirant d’un avatar de Mr. Bean contre un bourdon obstiné. Rires et gêne garantis devant ce bel exemple d’une comédie écrite et réalisée avec soin.
En copiant sans vergogne le modèle Bosch des concurrents de Prime Video, Netflix réalise une belle opération et nous offre une série policière solide et divertissante, qui ne trahit pas Michael Connelly.
On a tous entendu parler du « Syndrome de Stockholm ». Mais sait-on vraiment d’où vient cette expression ? La série suédoise Clark diffusée sur Netflix nous propose de revenir aux sources de cette expression à travers la biographie romancée et haute en couleurs du braqueur Clark Ólafsso
Belle surprise que cette quatrième saison de la série ultra-populaire Stranger Things, qui rebat les cartes, se présente comme une nouvelle proposition formelle, et fait en plus avancer son histoire. Bien vu !
A voir (absolument) sur Netflix, un film d’animation inspiré par les souvenirs de jeunesse du réalisateur Richard Linklater qui raconte la vie d’un gamin de la banlieue de Houston dans les années 1960. Une petite madeleine de Proust pour boomer, totalement irrésistible.
Mai, c’est le mois de notre rendez-vous avec une nouvelle saison de la compilation de courts métrages d’animation Love, Death & Robots !
Difficile de s’enthousiasmer devant la nouvelle série produite par David E. Kelley : sur fond de scandale #MeToo et de critique du pouvoir des élites au Royaume-Uni, elle déçoit à s’enliser dans plusieurs directions et multiplier des choix de mise en scène douteux.
Peut-on encore raconter aujourd’hui une simple histoire d’amour entre adolescents ? Oui, et même créer un déluge d’émotions, nous répond Heartstopper, qui aborde avec légèreté et pertinence une romance homosexuelle et ses conséquences.
Nous n’étions pas très optimistes quant à la perspective de voir se conclure Ozark, après les errements scénaristiques des dernières années. Nous avions tort, et la conclusion de cette série devenue très populaire outre-Atlantique nous réconcilie avec elle.