Dirty Lines raconte la success-story de deux frères ayant fait fortune dans le business du téléphone rose aux Pays-Bas, au début des années 80. Une série décomplexée, drôle et instructive inspirée d’une historie vraie à voir sur Netlfix.
On n’y croyait pas, mais Natasha Lyonne et Amy Poehler ont réussi à trouver un nouveau concept pour la seconde saison de leur Poupée Russe, et nous replonger dans un réjouissant labyrinthe psychanalytique. Laissez-vous surprendre une nouvelle fois !
Tiré d’un best-seller au sujet passionnant, Son Vrai Visage démarre fort, mais perd peu à peu sa crédibilité en multipliant les invraisemblances, les twists réguliers, les flashbacks, et les interprétations peu convaincantes. L’excellente Toni Collette méritait un meilleur véhicule pour son talent…
Et une troisième saison irrégulière – particulièrement en son milieu – pour Snowpiercer, qui se rattrape heureusement avec un épisode final particulièrement réussi. Tout le monde à bord, attention au départ !
Mission réussie pour Fanny Herrero qui après le succès de Dix Pour cent rebondit brillamment avec DROLE, une nouvelle série pleine de fraicheur qui met en scène quatre personnages particulièrement bien composés gravitant autour du monde du stand-up.
On est heureux de voir que l’écriture de la série Le Jeune Wallander s’améliore dans cette seconde saison, tout en gardant ce qui faisait sa force, des personnages complexes et ambigus. Une réussite, mineure certes, mais indéniable.
De retour après un an et demi avec une saison réduite de 10 à 7 épisodes, Space Force réduit considérablement ses ambitions, et se regarde désormais comme une agréable sitcom, transposition de The Office dans une base militaire…
Il n’est pas si fréquent qu’une série TV Netflix soit une analyse « sérieuse » des difficultés qu’affrontent les journalistes pour enquêter sur la corruption d’état : en dépit d’un certain manque de consistance, The Journalist est l’un des MUST du moment.
Mauvaise pioche pour Netflix dans la poursuite de stratégie d’attirer des auteurs sur la plateforme : Jeunet leur a vendu avec BigBug ce qui est sans doute son plus mauvais film !
Au delà d’une histoire horrifique – très convenue – de contamination par un virus transformant des lycéens en zombies, All of Us Are Dead s’avère un passionnant voyage à travers les véritables horreurs de notre société.