Major Grom : le Docteur de Peste confirme que nos voisins Russes sont eux aussi sensibles aux charmes des films d’action et de super héros, mais nous offre aussi une vision intéressante de la société russe actuelle. Et vaut donc le coup d’œil en dépit de quelques imperfections…
Katla, série surprise venue d’Islande, accumule les défauts qui seraient rédhibitoires s’ils n’étaient compensés par une splendeur visuelle absurde et par une noirceur psychologique brutale. Une expérience !
Même s’il paraît difficile de surprendre encore le téléspectateur gavé de thrillers psychologiques, Mon Amie Adèle réussit à sortir du lot et à nous offrir un spectacle aussi divertissant qu’étonnant.
Sur le passionnant sujet de la violence de plus inhérente à nos sociétés, la série israélienne Black Space échoue à nous passionner, mais aura au moins le mérite de nous faire réfléchir. Et nous préoccuper pour nos enfants.
Et si Awake, au-delà d’être un film terriblement mauvais, était en fait un constat lucide sur notre situation actuelle ? C’est en tout cas ce dont nous rêvons ici…
Si la première partie de Lupin, la série Netflix qui fit sensation en début d’année, tenait la route grâce à ses références attachantes à l’œuvre de Maurice Leblanc, cette seconde volée d’épisodes s’apparente à un échec complet.
Excellente surprise, dans le registre dangereux du divertissement familial, que ce Sweet Tooth, adaptation soignée et donc réussie d’un comic book post-apocalyptique au sujet pourtant peu original.
On n’attendait pas grand-chose de la suite de Qui a Tué Sara ?, notre récent plaisir régressif en forme de telenovela mexicaine… et pourtant, c’est encore pire que prévu : un gloubi-boulga scénaristique qui ne recule devant aucun excès et qui perd totalement le fil d’une histoire devenue absurde.
Fan de la série Undercover ? Ne manquez pas le Mauvais Camp, spin-off en forme de faux thriller, qui nous raconte avant tout l’histoire de la rencontre entre Ferry Bouman et Daniëlle…
Biopic a priori conventionnel d’un grand couturier américain largement oublié, Halston se révèle une succession de moments enivrants d’énergie, une célébration de la création artistique face à l’horreur du capitalisme, et une belle chronique du New York des années 70 aux années 80.