Fan de la série Undercover ? Ne manquez pas le Mauvais Camp, spin-off en forme de faux thriller, qui nous raconte avant tout l’histoire de la rencontre entre Ferry Bouman et Daniëlle…
Biopic a priori conventionnel d’un grand couturier américain largement oublié, Halston se révèle une succession de moments enivrants d’énergie, une célébration de la création artistique face à l’horreur du capitalisme, et une belle chronique du New York des années 70 aux années 80.
En s’emparant du drame méconnu du « bal des 41 » survenu au Mexique en 1901, David Pablos fait œuvre de nécessité. Mais à un travail didactique et appliqué, il préfère un film à l’atmosphère comme suspendue, sensorielle et sensuelle…
En 1990, un cambriolage au musée Gardner de Boston a conduit les agents du FBI et les journalistes dans une incroyable et interminable enquête pour tenter de retrouver les auteurs de ce vol. Une affaire sur laquelle plane encore de nombreux mystères.
Il n’est certes pas prudent de prétendre se mesurer à Hitchcock sur son propre terrain, mais la Femme à la Fenêtre traduit avant tout la déréliction d’un système hollywoodien qui n’arrive plus à réaliser le genre de cinéma populaire dans lequel il excellait autrefois.
Peut-être meilleure encore que la première compilation de courts-métrages d’animation SF et fantastiques, la seconde « fournée » de Love, Death & Robots permettra de faire le point sur l’évolution technique du genre, tout en se régalant de récits pour la plupart stimulants. On en redemande !
Sorte de remake SF et au goût du jour de Buried, Oxygène d’Alexandre Aja a pour lui pas mal d’atouts, mais souffre de facilités indignes dans son scénario, qui minent la crédibilité d’une histoire qui ne manquait pourtant pas d’intérêt. Dommage…
Nous qui nous étions un peu réconciliés avec les séries de « superhéros » avec des projets originaux comme Watchmen ou The Boys, nous voilà en train de déchanter à nouveau devant Jupiter’s Legacy, adaptation cheap et largement ratée du Millarworld.
Dans un documentaire en trois parties diffusé sur Netflix, J. Hess et T. Measom reviennent sur cette incroyable affaire relatant le parcours d’un faussaire de génie devenu meurtrier dans la communauté des mormons de Salt Lake City.
Dans le panorama assez dévasté des séries TV Netflix, Innocent tranche par la qualité de son script, de sa réalisation et de son interprétation, et confirme tout le bien qu’on pense du maître catalan du thriller complexe, Oriol Paulo.