[SVOD] How It Ends : un road-movie post-apocalyptique
En revisitant le genre déjà bien usé du road-movie post-apocalyptique, David M. Rosenthal nous offre quand même quelques moments de vrai cinéma. Pas si mal pour Netflix !
En revisitant le genre déjà bien usé du road-movie post-apocalyptique, David M. Rosenthal nous offre quand même quelques moments de vrai cinéma. Pas si mal pour Netflix !
Si Dark, avec ses boucles temporelles emmêlées et la confusion savamment entretenue entre les personnages, ne saurait plaire pas à tout le monde, elle se distingue du tout-venant de la série TV…
Décidément, la série noire continue avec Anon, le nouveau film d’Andrew Niccol, qui ne remonte pas le niveau des récentes productions Netflix.
Après son jouissif Dernier Train pour Busan, Yeon Sang-Ho revient – sur Netflix seulement – avec Psychokinesis, un nouveau film ambitieux tentant le mélange de genre.
La série dont tout le monde parle, et que tout le monde fredonne sans vraiment savoir d’où vient le thème principal, aurait pu être un vrai bloc d’action contestataire et jouissif sur la société économique actuelle en Espagne comme en Europe. Elle aurait pu, oui…
Ou comment se prendre les pieds dans le tapis avec l’adaptation de L’Alieniste, roman de Caleb Carr sorti en 1994 qui promettait pourtant son lot de frissons et de terreur.
Netflix poursuit avec la nouvelle série Altered Carbon son investissement dans une Science-Fiction graphique et ambitieuse, sensée répondre à toutes les attentes de la jeunesse actuelle… Sans avoir encore trouvé la martingale !
Abonné à Netflix ? Imaginant toujours que l’ogre américain de la VOD produira de bons films ? Le très attendu nouvel Alex Garland, Annihilation, risque bien de noyer vos derniers espoirs…
Avec ce remake de son premier film voici 30 ans, Spike Lee reprend les mêmes personnages tout en étudiant les bouleversements sociétaux de l’Amérique et de sa population afro-américaine. Un petit régal d’énergie.
Seconde partie du bonbon fantastique à succès sentant bon le cinéma pop américain des années 80, la série des frères Fuller continue de creuser son sillon, avec des soubresauts horrifiques plaisants, mais nous laissant sur notre faim.