As I Try Not To Fall Apart prouve qu’avec la maturité, certains artistes savent se dépouiller des aspects les plus caricaturaux de leur musique, et se concentrer sur le simple plaisir de bonnes mélodies et de textes pertinents.
Film qui parlera particulièrement à ceux qui ont eu 20 ans en 1980, les Magnétiques est un vrai beau geste de cinéma. Qui nous rappelle que pour que quelque chose puisse commencer, il faut bien que quelque chose finisse.
Le terrible Luke Haines vient de sortir une nouvelle merveille, Setting the Dogs on the Post-Punk Postman, et comme d’habitude, derrière le mélange de chaos et de mélodies, il nous offre 11 chansons terriblement déviantes et pourtant… superbes.
Les années 80 et les nuits parisiennes avant l’arrivée du SIDA qui marqua la fin de la fête, voilà le sujet de l’élégant et formellement ambitieux roman du critique rock François Gorin : un trip cotonneux et hypnotique aux côtés d’une jeunesse hédoniste disparue.
Le visuel du disque ne laisse planer que peu de doute sur l’origine de Molchat Doma. Les biélorusses extraient la synthé-pop de la naphtaline pour mieux célébrer la nostalgie du temps passé mais finissent par convaincre lorsqu’ils prennent les guitares.
Imaginez que Bowie et Freddy Mercury sont encore vivants, et lancez-vous dans une valse funky spatialo-robotique pailletée avec synthés et saxos, sur l’incroyable RAZZMATAZZ de iDKHOW, un groupe qui vous veut énormément de bien.
Repérés au milieu des années 2000, les anglais d’Editors font le bilan à l’occasion de la sortie de leur premier Best Of. Constat sans appel, leur rock inspiré par la new wave s’est sacrément détendu au fil des ans.
Les deux groupes phares actuels de la jeune scène rouennaise, MNNQNS et We Hate You Please Die, sont venus jeudi soir respirer le bon air pur de Paris et bouter le feu à une Maroquinerie qu’ils ont mise à genoux !
En 1980, Robert Smith et sa bande prennent les choses en main et livrent Seventeen Seconds qui deviendra le premier volet d’une trilogie (The Cold Trilogy) qui glacera les 80’s et gravera le nom de Cure au panthéon du Rock.
Tel un pilote de F1 sous méthamphétamine, Rendez Vous assène de méchants coups de volant Post Punk et frise la sortie de route avec son 1er album Superior State.